Je suis heureuse de pouvoir vous proposer la dégustation de mes vins accompagnée d’une planche apéritive, dans une belle cave voutée dédiée. Et ce à compter du 1er décembre 2024.
J’organise des dégustations avec une approche accessible et décontractée. Imaginez ! Juste de dire le mot « organoleptique » me donne mal à la tête 😛. Alors exit les mots trop techniques et prise de tête ! Ce qui m’intéresse c’est de créer des émotions, vous encourager à vous exprimer, de favoriser l’interactivité et de partager vos sensations. Les dégustations peuvent se faire à l’aveugle pour permettre de se concentrer sur les fondamentaux du vin, de ne pas être influencé par l’étiquette, et d’ajouter un aspect ludique et stimulant à la dégustation. Les maîtres mots sont « se faire plaisir ! ».
Je peux ainsi vous accueillir pour une visite du cuvage commentée suivie d’une dégustation. La visite peut commencer au préalable par la visite d’une parcelle de vignes à Blacé qui se trouve à moins de 10 minutes en voiture. Cette parcelle me tient à coeur car j’ai commencé à semer mes couverts végétaux sur celle-ci. La vue est magnifique où vous pourrez apercevoir le Château de Montmelas et le Mont Blanc par temps dégagé. C’est un vrai havre de paix où l’on peut entendre les grillons et les oiseaux chanter dans la belle saison. Voir les abeilles butiner et les papillons virevolter au gré du vent.
Vous trouverez ci-dessous des photos de l’évolution de la cave voutée où l’élevage des vins et dégustation se font 😀
Sur réservation uniquement par email à domaine.minhae69@gmail.com.
Vous avez envie de me rencontrer pour mieux appréhender mon quotidien ? Venez !!
Je vous propose de participer à plusieurs activités selon les saisons de la vigne. Vous pourrez ainsi partager mon savoir-faire lors de cette parenthèse pédagogique de 2h dédiée à chaque étape-clé du métier : taille, ébourgeonnage, tressage, prise de maturité. L’occasion de se reconnecter avec la nature et peut-être de révéler une vocation en vous. Chaque rendez-vous se terminera par un mâchon au pied des vignes ou au domaine selon les saisons. (charcuterie, fromage et vins du domaine)
Informations pratiques
Dates : du 1er février 2025 au 31 août 2025
Jour : le samedi matin
Horaires : 10h-12h
Lieu : Blacé et St Etienne les Ouillières
Programme complet :
Samedi 18 janvier : Taille
Samedi 15 février : Taille
Samedi 22 mars : Taille
Samedi 19 avril : Ébourgeonnage et épamprage
Samedi 14 juin : Tressage
Samedi 22 août : Prise de maturité
Tarifs : 30 € par adulte pour 1 session
Sur réservation uniquement par email à domaine.minhae69@gmail.com.
Les réservations seront clôturées 72h avant l’évènement.
J’ai eu l’opportunité d’occuper un nouveau cuvage cette année 2023. à Salles Arbuissonnas en Beaujolais. C’est un point qui peut paraître anecdotique mais qui ne l’est pas compte tenu de mon profil. Souvenez-vous, j’ai écrit un article sur la grande difficulté de trouver un bâtiment pour vinifier, élever et stocker son vin. Ce n’est que par le « bouche à oreille » qu’un propriétaire m’ait proposé d’utiliser son cuvage qui a été sans activité depuis 10 ans.
Cela n’a pas été sans peine. Entre les visites, les interrogations, la logistique, l’occupation du cuvage s’est terminée à peine 1 semaine avant les vendanges.
C’est un bâtiment fonctionnel avec des cuves béton de 70hl* et des foudres de 25hl à 70hl* inutilisables. Pour un domaine de 2,2 hectares comme le mien, la taille du cuvage semble surdimensionnée mais les cuves béton et les foudres prennent 50% de la place, sans compter la présence de vieux matériels encombrants du propriétaire que je n’utilise pas. Je n’ai donc accès qu’à environ 40% de la place, ce qui est suffisant sur le papier mais cela demande beaucoup de logistique lorsque l’on utilise plusieurs cuves mobiles car je travaille sur des cuvées parcellaires. Et les cuves et foudres ne peuvent pas être déplacés.
Je peux ainsi vous proposer plusieurs cuvées du millésime 2023 😀
* Cuves béton : elles sont carrées, indémontables et intransportables.
*Foudres : elles sont en bois équivalentes à plusieurs barriques.
Ma philosophie de la viticulture et de la vinification est toujours la même depuis mes débuts. Elle se résume en quelques phrases.
Une viticulture respectueuse du sol donc sans produit chimique, très peu voire sans travail du sol, et respectueuse de la vigne en respectant sa physiologie et la saisonnalité.
Des vendanges manuelles en caissettes ajourées de 15kg pour ne pas tasser le raisin.
Une vinification douce avec des levures indigènes (levures naturellement présentes dans la parcelle et sur les raisins), sans aucun intrant oenologique sauf le soufre en cas de danger pour le vin à tourner en vinaigre, sans recours à des techniques physiques brutales sur le vin (telles que l’osmose inverse, la filtration, la thermovinification).
Ces dernières années, vous avez dû entendre parler des vins dits « nature ». Qui sont soit encensés soit décriés.
Je n’entrerais pas dans le débat pour savoir s’ils sont bons ou pas. Je pense qu’un vin n’est ni bon ni mauvais, mais plaît ou pas au palais de chacun. Et que les « défauts » d’un vin perçus par une personne ne le seront pas (ou dans une moindre mesure) chez une autre personne.
Il faut savoir que la langue compte jusqu’à 5000 papilles gustatives. Et lors d’une conférence de Gabriel Lepousez, j’ai découvert que dans un seul verre de vin on pouvait retrouver entre 800 et 1000 molécules aromatiques différentes et que notre bouche possède environ 25 récepteurs différents de l’amertume. Imaginez donc le nombre de possibilités gustatives, sans parler de l’olfaction qui découle de près de 400 récepteurs.
Ma définition de vin naturel provient donc de ma philosophie. Dans le mot naturel, il y a le mot « nature » qui fait référence au végétal et à la plante. Un vin naturel provient d’une vigne que l’on prend soin, sur un sol avec une vie microbienne active, sans intrant oenologique et sans action mécanique lors de la vinification.
Peut-être est-ce présomptueux de ma part, mais je mets tout en oeuvre et tout mon coeur pour y arriver.
Depuis 2020, la dénomination « vin méthode nature » compatible avec la règlementation européenne en vigueur, bénéficie d’une définition et d’un label officiellement validé par la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes). Je suis adhérente au Syndicat de Défense des Vins Naturels depuis 2023 qui est à l’initiative de ce label. Quel que soit les avis sur la légitimité de ce label, il a le mérite d’exister et de poser un cadre.
Vous trouverez facilement les informations sur la charte du Syndicat sur internet. Et contrairement à ce que l’on peut croire et entendre, un vin naturel ce n’est pas « juste » un vin sans soufre, c’est un tout, de la vigne au verre. Il est aberrant d’entendre un vigneron utilisant des produits chimiques dans les vignes, filtrant et triturant le vin à sa guise, dire « mon vin est sans soufre donc il est nature » !
Pour information, les seuils maximum de soufre autorisé selon les certifications et labels sont les suivants pour les vins rouge tranquilles : vin conventionnel et HVE = 150 mg/L , vin bio = 100 mg/L , vin Demeter = 70 mg/L , vin méthode nature = 30 mg/L.
Je n’ai donc qu’un conseil à vous donner : discuter avec les vignerons ou cavistes pour comprendre la philosophie du vigneron et cerner sa propre définition du vin nature 😀
Une dernière remarque : on ne fait pas un vin nature pour suivre une mode !
Jamie Goode est un auteur britannique titulaire d’un doctorat en biologie végétale et chroniqueur au Sunday Express. Il contribue également à des publications sur le vin et tient notamment un site Wineanorak sur lequel vous pouvez retrouver sa dégustation de mes 2 premières cuvées.
Pour la 6ème édition du Glou Guide, je suis extrêmement fière d’avoir pu présenter mon Beaujolais Blacé. Ci-dessous le bel article en question
Mon portrait dans RUE89Lyon
RUE89Lyon est un journal local devenu récemment une coopérative de salariés. J’ai eu le plaisir de rencontrer Pierre Lemerle. Un moment d’échanges très convivial. Vous trouverez le lien ci-dessous
Suite à mes semis 2022-2023, j’ai intégré un groupe de vignerons dans le Beaujolais suivi par la Chambre d’Agriculture du Rhône dans le cadre du projet AdapTénuer. Ce projet consiste à présenter les leviers d’adaptation et/ou d’atténuation vis à vis du changement climatique.
Les semis des couverts végétaux de l’automne 2022 ont été productifs ! Comme vous pouvez le voir sur les photos, 2 espèces parmi les 4 semées ont poussées en grande majorité : le pois fourrager et le seigle.
Malgré cela, je suis très contente des résultats que ces couverts ont donnés. Dans le cadre du projet AdapTénuer, les prélèvements du sol sont très positifs et me confortent dans mes décisions. Il y a 6 fois plus de production de biomasse par les semis que par la végétation spontanée. La restitution des minéraux et de l’azote et le stockage de carbone dans le sol, sont très largement supérieurs dans les rangs semés que ceux recouverts de la végétation spontanée.
Ces résultats sont à suivre sur plusieurs années, d’autant plus que la parcelle n’est en conversion vers l’agriculture biologique que depuis 2021.
Je continue donc l’expérience et double le nombre de rangs semés sur cette belle parcelle.
En 2024, des semis seront mis en place sur une seconde parcelle.
En automne 2022 j’ai semé des couverts végétaux sur la parcelle la plus haute en altitude sur Blacé. Le semis a été mis en place un rang sur 4. Pour une première fois (pour la vigne et moi 😀) j’ai préféré utiliser une petite quantité de semis. Les graines ont été semées à la volée sur un sol préalablement retourné sur 10 cm de profondeur avec une grelinette. Je dois avouer que j’étais éreintée après avoir travaillé ce sol qui ne l’a jamais été.
J’ai sélectionné 4 espèces (bio évidemment) en fonction de leurs avantages par rapport à mon sol et de ce que je voulais obtenir comme résultat. Les effets principaux recherchés sont le décompactage du sol, la production de biomasse, la gestion des adventices.
Les agronomes conseillent 3 espèces différentes au minimum : graminées, légumineuses et crucifères. J’ai donc semé :
du seigle. J’aurais voulu du tritical qui est moins cher mais en rupture de stock. Cette graminée facile à implanter permet une production moyenne de biomasse et permet de lutter contre les adventices. Elle a un système racinaire pivotant qui va décompacter le sol en profondeur. Le seigle a poussé très tardivement mais pas de façon homogène dans les rangs de vigne.
pois fourrager. Cette légumineuse s’implante facilement et permet d’obtenir une bonne biomasse. Le pois a particulièrement bien poussé, il a bien monté et produit ses fleurs. Néanmoins, j’aurais dû mettre des tuteurs par ci par là afin qu’il puisse grimper dessus et non sur les ceps.
navette fourragère. Ce crucifère produit une bonne biomasse et a un système racinaire pivotante. C’est une plante étouffante qui lutte donc très bien contre les adventices. En revanche, à part quelques feuilles par ci par là, la navette n’a pas poussé.
phacélie. Cette plante produit une bonne biomasse et a un système racinaire pivotante. Mais je l’ai surtout choisie car elle est très mellifère c’est à dire qu’elle produit beaucoup de nectar pour les abeilles. Elle les attire donc très facilement. Qui dit abeille dit biodiversité 😀 . Tout comme la navette fourragère, la phacélie a très peu poussé.
Depuis le début de l’été, seul est resté le seigle. Le reste des plantes ont séchées à cause du soleil et de la chaleur.
Les premiers résultats sont très positifs. Je ne vais pas rentrer dans les détails techniques, mais pour donner un exemple, un prélèvement a été effectué début juin des plantes semées et de celles qui ont poussé de façon spontanée. Les plantes spontanées produisent 0,6T/hectare de biomasse, alors que les couverts semés produisent 4T/hectare de biomasse.
En automne 2024, l’expérience sera renouvelée 1 rang sur 2 sur cette parcelle. Et 1 rang sur 4 sur une autre parcelle de Blacé.
Très engagée dans l’agriculture biologique dans les vignes, je le suis encore plus dans la vinification. J’interviens très peu mécaniquement sur le vin lors de la vinification et aucun intrant n’est ajouté dans le vin, sauf en cas d’extrême risque (uniquement une dose homéopathique de soufre qui est un antioxydant qui stabilise et protège le vin). J’ai tendance à laisser le vin se faire tout seul, à son rythme. Selon les millésimes, la macération durera plus ou moins longtemps avec un minimum de 10 jours et l’extraction sera plus ou moins poussée. Mes cuvées seront toutes différentes selon les millésimes. Aucun vin standard, même si une cuvée plaît énormément. Il y a tellement de possibilité qu’il serait dommage de se priver ! Vous aurez le choix entre des vins légers, fruités et croquants et des vins plus structurés, tanniques et long en bouche.
C’est aussi pour cela qu’un maximum de mes cuvées seront certifiées « vin méthode nature ».
C’est fait ! Le cap du statut d’exploitante agricole est passé ! What ?!
En effet, jusqu’à ce jour, j’avais le statut de cotisante solidaire pour la MSA (la fameuse sécurité sociale des agriculteurs), qui me permettait d’avoir quelques droits et une couverture sociale minimale. Ce statut est lié à la taille du parcellaire qui était alors de moins de 1,80 hectares soit moins de 18000 m2. Pour des raisons diverses notamment liées au cuvage, j’ai dû augmenter mon parcellaire pour passer ce seuil de 1,80.
Ce que je ne regrette pas ! J’exploite dorénavant 2 nouvelles parcelles situées à Régnié-Durette. Mon domaine s’étend maintenant à 2,2 hectares. Cette taille ne devrait guère varier car je ne pourrais pas travailler seule comme je le fais actuellement sur une plus grande superficie.
Je vais donc pouvoir vous proposer une belle gamme de 4 cuvées différentes : Beaujolais, Beaujolais Blacé, Régnié (dernier des crus du Beaujolais) et Moulin à Vent.
Un Beaujolais rouge très léger (11,5°) et fruité qui se boit très facilement. Au nez, une belle odeur de fleur blanche qui détonne avec le goût en bouche où la framboise s’exprime.
La vinification s’est faite très simplement : réception des raisins dans une cuve en fibre où ils ont macéré pendant 15 jours en conservant les levures déjà présentes sur le raisin (levures indigènes). Aucune intervention mécanique. Ajout de SO2 à 2 g/hL. L’élevage de 8 mois s’est effectué dans une cuve en inox. L’embouteillage s’est faite sans collage, sans filtration. (SO2 : 29 mg/L)
BEAUJOLAIS VILLAGES BLACÉ
Millésime 2022
Un Beaujolais Villages rouge fruité et plein de peps (13,5°).
La vinification s’est faite très simplement : réception des raisins dans une cuve béton où ils ont macéré pendant 15 jours en conservant les levures déjà présentes sur le raisin (levures indigènes). J’ai procédé à 3 remontages de 10 minutes (arroser les raisins par la trappe du dessus de la cuve pour que les levures s’activent). Ajout de SO2 à 2 g/hL. L’élevage de 18 mois s’est effectué dans une cuve émail. L’embouteillage s’est faite sans collage, sans filtration. (SO2 : 22 mg/L)
BEAUJOLAIS VILLAGES BLACÉ
Millésime 2023
Un Beaujolais Villages rouge très léger (11,5°), fruité qui se boit très facilement. Le vin est peu tannique et structuré.
La vinification s’est faite très simplement : réception des raisins dans une cuve en fibre où ils ont macéré pendant 15 jours en conservant les levures déjà présentes sur le raisin (levures indigènes). Aucune intervention mécanique. 1/3 de l’élevage de 8 mois s’est effectué dans un demi-muid (tonneau de 600l) de plusieurs vins (où plusieurs vins avaient déjà été vinifiés) ; et 2/3 de l’élevage s’est effectué dans une cuve inox. L’embouteillage s’est faite sans intrant, sans collage, sans filtration. (SO2 < 15 mg/L)
MOULIN A VENT
Millésime 2022
Cru historique du Beaujolais, ce vin rouge est intense (13°) avec une belle longueur en bouche. Très fruité, il présente des arômes de fruits noirs et d’épices.
La vinification s’est faite simplement : réception des raisins dans une cuve fibre où ils ont macéré pendant 21 jours en levures indigènes. J’ai procédé à 3 remontages de 10 minutes à l’aide d’un seau. L’élevage de 8 mois s’est effectué dans un fûts de plusieurs vins. L’embouteillage s’est faite sans intrant sans collage, sans filtration. (SO2 : 16 mg/L)
RÉGNIÉ
Millésime 2023
Dernier cru du Beaujolais, ce vin rouge (13°) est structuré et un peu tannique. Il présente des arômes de fruits noirs.
La vinification s’est faite simplement : réception des raisins dans une cuve béton où ils ont macéré pendant 18 jours en levures indigènes. Aucune intervention mécanique. L’élevage de 9 mois s’est effectué dans une cuve en fibre. L’embouteillage s’est faite avec une dose homéopathique de soufre pour stabiliser le vin, sans collage, sans filtration. (SO2 < 15 mg/L)
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